A l'école au quotidien...

oui c'est pour ça que j'avais honte de ma suggestion.


euh... courage ?
qu'est-ce qu'on peut te souhaiter d'autre ? de ne pas en prendre un pour assommer les autres ?

trop tard, c'est déjà fait !

Moi, je serais toi, je consacrerais l'ensemble des cours d'EPS à jouer à Jacques a dit... Première période, Jacques a dit une consigne, Deuxième période, Jacques a dit une à deux consignes, Troisième période, Jacques a dit deux à trois consignes, Quatrième et Cinquième périodes, Jacques a dit trois consignes et personne ne se trompe ! Non mais oh !
On jouera au foot, on fera du hip hop et de la capoeira lorsque tout le monde sera capable de se rappeler que, bon sang de bois, c'est toujours pareil, on prend son cahier, on colle les feuilles sans gaspiller de place et on fait attention à l'endroit où on pose sa colle !

... mais... elle est où ma colle ?? Bon sang de bois, je l'avais pourtant !

Bah moi, je reconnais les classes que j'ai eues dans ta manière de présenter Bourriquet. Et j'obtenais quand même que régulièrement, l'un avait mis le texte 14 avant le texte 13, ou alors il le mettait au milieu de la page et il n'y avait plus de place, ou il le mettait page 41 ( y'a le 1 et le 4 )... Je compatis, donc et admire tes résultats

On ne dirait pas qu'à 9 ans ils ont déjà 5 ou 6 ans de scolarité derrière eux.

9 ans ?
neuf ans ?

Je vous l'avais dit que si je commençais à vous raconter ma vie à l'école vous alliez déprimer !
Je vais plutôt continuer à dessiner, c'est vachement plus rigolo.

Toutes mes condoléances, Bourriquet. Et elles sont sincères. Bon courage. Bois de l'eau lentement, avale poooooooooooooosément, respire...

t'en fais pas pour moi Bourriquet, c'est juste que mes gars ont 9 ans 3/4, du coup, ça me fait comme un trou d'air de le voir écrit comme ça.
rien qui ne t'empêche d'en parler, je suppose que faire comme si de rien ou ne rien dire jamais ne sont pas exactement les options qui t'aideront le plus...

Et si vous les voyiez suivre une ordonnance vingt ans plus tard, vous seriez édifiés.
 " Ah mais les cachets roses, là, il m'en reste ! Moi : " ce n'est pas possible ; j'avais dit 1 matin et soir cinq jours et je vous en ai donné dix ". Eux : "si, il en reste ! ".
 Et puis merde ! crève !

Dobo a écrit:Et si vous les voyiez suivre une ordonnance vingt ans plus tard, vous seriez édifiés.
 " Ah mais les cachets roses, là, il m'en reste ! Moi : " ce n'est pas possible ; j'avais dit 1 matin et soir cinq jours et je vous en ai donné dix ". Eux : "si, il en reste ! ".
 Et puis merde ! crève !

Voilà. Et tu vois, Bourriquet, Dobo, elle raconte... Tes dessins, c'est bien, mais ça ne suffit pas. Pour évacuer tout ce stress, il faut que tu verbalises. Il y va de ta santé !

Mais moi, je sais pas dessiner .. y a des vétos et des médecins qui dessinent, comme bourriquet

Dobo a écrit:Mais moi, je sais pas dessiner .. y a des vétos et des médecins qui dessinent, comme bourriquet

Oui, c'est vrai.

L'image est trop grosse, je n'arrive pas à la voir en entier.

réduis ton écran !

tu appuies sur la touche CTRL et tu tournes la molette de ta souris

j'ai juste ouvert dans une autre fenêtre, ça affiche l'image en entier.

Je feuillette le blog de Kastet (l'auteur des illustration), je ne pige pas les blagues.

Voui, mais ceux dont je parlais, ce sont des 5e et 6e primaire, CM2-6e... C'est encore plus désespérant!

Volubilys la patate a écrit:j'ai juste ouvert dans une autre fenêtre, ça affiche l'image en entier.

Je feuillette le blog de Kastet (l'auteur des illustration), je ne pige pas les blagues.

 Ah ? je vais aller voir et je te dirai si c'est compréhensible !

J'aime bien celle-là mais elles ne sont pas toutes compréhensibles grand public car elles collent à l'actualité véto.

Et puis ça reste un véto, donc à 75 % de droite conservatrice ... Forcément, tout ne nous semble pas drôle.
 J'ai celle-là :

Volubilys la patate a écrit:Je feuillette le blog de Kastet (l'auteur des illustration), je ne pige pas les blagues.

Disons, qu'en dehors d'être peu concernant pour un non véto, il n'est pas non plus inenvisageable de penser que ce n'est pas excessivement drôle.