Les aventures d'une patate à l'école...

Je ne doute pas que dans les deux cas, on puisse apercevoir quelques chemins ferrés mais il m'étonnerait que l'architecture des gares ait un rapport, même lointain, avec les bâtiments que l'on aperçoit sur la photo.

Quant à la référence aux westerns, il s'agit du genre "spaghetti"  dont les classiques, qui révélèrent Clint Eastwood en particulier, ne sont plus à évoquer. L’œuvre que vous citez n'en fait pas directement partie, c'est une une parodie (western comedy) dont l'acteur principal s'associa à Bud Spencer afin de tourner nombre films qui ne brille pas par la légèreté de leur humour.

Dhaiphi a écrit:Je ne doute pas que dans les deux cas, on puisse apercevoir quelques chemins ferrés mais il m'étonnerait que l'architecture des gares ait un rapport, même lointain, avec les bâtiments que l'on aperçoit sur la photo.

Quant à la référence aux westerns, il s'agit du genre "spaghetti"  dont les classiques, qui révélèrent Clint Eastwood en particulier, ne sont plus à évoquer. L’œuvre que vous citez n'en fait pas directement partie, c'est une une parodie (western comedy) dont l'acteur principal s'associa à Bud Spencer afin de tourner nombre films qui ne brille pas par la légèreté de leur humour.

Et pourtant... je vous jure Dhaiphi que le quai de la gare de Pierrefonds (aujourd'hui désertée) ressemble, dans son dénuement, à l'illustration du livre commenté plus haut... De même que Terrence Hill démontre dans le film que j'ai cité des talents d'acteurs incroyables que je n'aurais pas cru existants chez lui si je m'étais cantonné à son duo avec Bud Spencer.

gelsomina31 a écrit:Et pourtant... je vous jure Dhaiphi que le quai de  la gare de Pierrefonds  (aujourd'hui désertée) ressemble, dans son dénuement, à l'illustration du livre commenté plus haut...

Je ne voudrais pas entamer un débat sans fin sur ce sujet et obtenir raison à tout prix mais autant je vous concède aisément que rien ne ressemble plus à une gare désertée qu'une autre gare gare désertée située le long d'une voie ferrée à une autre semblable, autant sur le plan architecturale la comparaison ne peut être tenue : la tour peut évoquer une tour de guet ou de contrôle voire un silo mais pas une gare avec son bâtiment principal flanqué de ses deux ailes.

des talents d'acteurs incroyables que je n'aurais pas cru existants chez lui si je m'étais cantonné à son duo avec Bud Spencer.

Naturellement, je respecte votre point de vue bien qu'il me pose problème, mais bon... je crois qu'il me faut rester sur le sujet plus factuel de l'architecture des gares.

Une vue plus récente de la gare de Pierrefonds :


Les bâtiments de la gare de Pierrefonds ont été reconvertis en logements dont les clôtures ne permettent pas de deviner tout de suite leur office premier.
Les quais ont disparus ainsi qu'une bonne partie de la voie ferrée, recouverte de terre et de végétation. Le peu qui reste visible de cette gare sans être parfaitement identique à la photo du livre lui ressemble beaucoup (un bout de quai surgissant de nulle part avec un squelette de paroi métallique de ce qui fut sans doute un abri anti-pluie doté de sièges métalliques utiles au repos ponctuel de voyageurs en attente de leur train.

Vue du ciel, la gare est très reconnaissable malgré la disparition des voies ferrées et la construction d'un cours de tennis sur leur ancien parcours. Vu de vélo, à la sortie d'une voie cyclable, je vous assure que pour le profane, l'existence d'une gare à cet endroit n'est pas une chose évidente.


Quant à Terrence Hill,  je veux bien admettre que les qualités artistiques de ses co-acteurs (notamment Henri Fonda) et du réalisateur du film cité plus haut m'embrouille dans mon jugement sur sa qualité d'acteur. Il n'empêche que, contrairement à son acolyte Bud Spencer, il a réussi, via ce film et sûrement d'autres, à montrer qu'il n'était pas seulement un mauvais acteurs de comédie Z.  Maintenant, les goûts et les couleurs...

gelsomina31 a écrit: Le peu qui reste visible de cette gare sans être parfaitement identique à la photo du livre lui ressemble beaucoup

Bien, nous en resterons donc là car je renonce à argumenter davantage tant je vous devine persuadée du bien fondé de votre point de vue.