Je confirme. Est Daniel et Valérie tout ce qui prend pour matériau d'étude une phrase dont on extrait les mots, peu nombreux, repris très fréquemment, ce qui les rend vite « repérables » par les élèves, mots dont on extrait un son qu'on travaille à combiner avec d'autres sons pour revenir très vite à des mots porteurs de sens puis, surtout, à des phrases formant le plus vite possible dans l'année un texte, de plus en plus long, entièrement déchiffrable sur lequel on travaille la cohérence et la compréhension.
Est Boscher, tout ce qui part d'une lettre qu'on présente aux élèves, qu'ils apprennent à combiner avec les lettres déjà connues pour déchiffrer essentiellement des syllabes puis des mots, pas forcément «signifiants» pour l'enfant (puisque l'important est l'automatisation du déchiffrage) et enfin, parfois, mais pas toujours, sur des phrases indépendantes les unes des autres.
Les méthodes actuelles rajoutent, parfois, de courts textes, ce qui permet aux élèves de voir et entendre les constituants de la cohérence textuelle.
Et enfin, est Ribambelle, tout ce qui part d'un texte indéchiffrable par l'élève, de plus en plus souvent lu par le maître, composé sans cesse de mots nouveaux, donc difficilement repérables, sur lequel on travaille la compréhension et l'acculturation.
Suite aux critiques du début des années 2000, ces méthodes ont rajouté un zeste de découverte des sons, souvent plaqué sur le reste et travaillé selon la méthode Boscher : étude d'une lettre, déchiffrage et écriture de syllabes et de quelques mots, le tout complètement déconnecté des activités littéraires porteuses de sens.
Il arrive que cette étude de lettre soit remplacée par une étude de son et que la méthode présente en même temps tous les « costumes » de ce son (ex : o, ô, au, eau).
Est Boscher, tout ce qui part d'une lettre qu'on présente aux élèves, qu'ils apprennent à combiner avec les lettres déjà connues pour déchiffrer essentiellement des syllabes puis des mots, pas forcément «signifiants» pour l'enfant (puisque l'important est l'automatisation du déchiffrage) et enfin, parfois, mais pas toujours, sur des phrases indépendantes les unes des autres.
Les méthodes actuelles rajoutent, parfois, de courts textes, ce qui permet aux élèves de voir et entendre les constituants de la cohérence textuelle.
Et enfin, est Ribambelle, tout ce qui part d'un texte indéchiffrable par l'élève, de plus en plus souvent lu par le maître, composé sans cesse de mots nouveaux, donc difficilement repérables, sur lequel on travaille la compréhension et l'acculturation.
Suite aux critiques du début des années 2000, ces méthodes ont rajouté un zeste de découverte des sons, souvent plaqué sur le reste et travaillé selon la méthode Boscher : étude d'une lettre, déchiffrage et écriture de syllabes et de quelques mots, le tout complètement déconnecté des activités littéraires porteuses de sens.
Il arrive que cette étude de lettre soit remplacée par une étude de son et que la méthode présente en même temps tous les « costumes » de ce son (ex : o, ô, au, eau).