Dessins et Photos humoristiques

Et encore ! À l'époque, ils n'étaient pas 8 milliards ou presque !

Il apparaissait évident que bien que Mars pouvait supporter la vie, ce n'était pas une forme de vie intelligente.

* report card : bulletin scolaire

"The times, they are changing" Bob Dylan


1
- Je prépare la recette de biscuits au chocolat de ma grand-mère.
2
- Voyons... un trait de thiamine mononitrate... deux pincées de riboflavine
3
- Ta grand-mère travaillait chez Nabisco, n'est-ce pas ?

NdT : Nabisco est une entreprise agroalimentaire américaine, l'équivalent de Ferrero.

C'est tout à fait ça... L'autre jour, j'ai pris en auto-stop un baba cool âgé de 65 ans (c'est lui qui me l'a dit) qui cherchait à me démontrer que ses parents (nés donc dans les années 1925 à 1935, très certainement, et adultes dans les années 1960 à 1970) préparaient une alimentation beaucoup plus saine et naturelle que celle dont nous bénéficions aujourd'hui.
Je lui ai un peu cassé ses représentations mentales erronées en lui citant quelques-uns des produits de traitements agricoles et des additifs alimentaires non seulement autorisés mais très largement conseillés pendant les Trente Glorieuses.
Le pauvre, il était un peu déstabilisé. Il a fini par s'en sortir en décrivant ses parents comme des gros ploucs vivant en gros comme leurs ancêtres d'avant 1850, à l'époque où personne encore ne s'émerveillait devant "la Science" des engrais, insecticides, des exhausteurs de goût ou de couleur et autres conservateurs chimiques.

Akwabon DC a écrit:
C'est tout à fait ça... L'autre jour, j'ai pris en auto-stop un baba cool âgé de 65 ans (c'est lui qui me l'a dit)

Il est vrai que le petit peuple du "Summer of love" est aujourd'hui septuagénaire pour les plus chanceux...

Je lui ai un peu cassé ses représentations mentales erronées

Nom : Akwabon Profession : Casseuse de représentations mentales erronées  

en lui citant quelques-uns des produits de traitements agricoles et des additifs alimentaires non seulement autorisés mais très largement conseillés pendant les Trente Glorieuses.

Disons que la production de masse ne s'encombrait guère de préoccupations "écolo/bio" essentiellement par souci de rentabilité ou pour préserver la survie de l'exploitation ce qui peut s'entendre naturellement.
La culture de produits "naturels" existait par tradition mais aussi par manque de moyens financiers que par une volonté assumée de produire "bio" et il faut reconnaître que même le jardinier lambda était heureux d'accueillir les engrais et les insecticides artificiels qui lui évitaient du travail et du souci tout en préservant et en améliorant sa production.

Il a fini par s'en sortir en décrivant ses parents comme des gros ploucs vivant en gros comme leurs ancêtres d'avant 1850,

Que ces parents étaient de gros "ploucs", je ne possède pas assez d'éléments pour en juger.
Comme je le disais, ils produisaient sûrement leurs légumes comme leurs parents l'avaient fait avant eux (engrais et produits de traitement naturels) par tradition plus que par volonté de produire "bio", le concept n'en étant guère répandu.
Ils produisaient des produits naturels comme Monsieur Jourdain faisait de la prose.

à l'époque où personne encore ne s'émerveillait devant "la Science" des engrais, insecticides, des exhausteurs de goût ou de couleur et autres conservateurs chimiques.

La Science produit "des démons et des merveilles" sans jugements moraux. Un progrès de la Science est toujours "admirable", son emploi lui demande à être questionné. Science sans conscience et toussa...

... mais il ne faut pas le dire aux enfants. (Marcel Pagnol)



- J'aimais mieux quand vous étiez une grenouille !

NdT : Penser dans une langue qui ne distingue pas le "tu" du "vous" doit offrir
une vision du monde différente.

Dhaiphi a écrit:

Akwabon DC a écrit:
C'est tout à fait ça... L'autre jour, j'ai pris en auto-stop un baba cool âgé de 65 ans (c'est lui qui me l'a dit)

Il est vrai que le petit peuple du "Summer of love" est aujourd'hui septuagénaire pour les plus chanceux...

Je lui ai un peu cassé ses représentations mentales erronées

Nom : Akwabon Profession : Casseuse de représentations mentales erronées  

en lui citant quelques-uns des produits de traitements agricoles et des additifs alimentaires non seulement autorisés mais très largement conseillés pendant les Trente Glorieuses.

Disons que la production de masse ne s'encombrait guère de préoccupations "écolo/bio" essentiellement par souci de rentabilité ou pour préserver la survie de l'exploitation ce qui peut s'entendre naturellement.
La culture de produits "naturels" existait par tradition mais aussi par manque de moyens financiers que par une volonté assumée de produire "bio" et il faut reconnaître que même le jardinier lambda était heureux d'accueillir les engrais et les insecticides artificiels qui lui évitaient du travail et du souci tout en préservant et en améliorant sa production.

Il a fini par s'en sortir en décrivant ses parents comme des gros ploucs vivant en gros comme leurs ancêtres d'avant 1850,

Que ces parents étaient de gros "ploucs", je ne possède pas assez d'éléments pour en juger.
Comme je le disais, ils produisaient sûrement leurs légumes comme leurs parents l'avaient fait avant eux (engrais et produits de traitement naturels) par tradition plus que par volonté de produire "bio", le concept n'en étant guère répandu.
Ils produisaient des produits naturels comme Monsieur Jourdain faisait de la prose.

à l'époque où personne encore ne s'émerveillait devant "la Science" des engrais, insecticides, des exhausteurs de goût ou de couleur et autres conservateurs chimiques.

La Science produit "des démons et des merveilles" sans jugements moraux. Un progrès de la Science est toujours "admirable", son emploi lui demande à être questionné. Science sans conscience et toussa...

Sans doute, sans doute. Dans le milieu où j'évoluais chaque été, l'engrais chimique dans les jardins, qui permettait d'avoir des légumes énormes, le "flytox" pulvérisé directement sur la peau, pour que les mouches ne s'y posent pas, le bain de lindane pour les brebis, pour les préserver des insectes, ou le DDT pulvérisé dans l'étable où avait lieu la traite manuelle, ne rebutait personne.
C'était "le progrès" à une époque où "le paysan", tout autant que "l'ouvrier", avait été chargé par "le Général" de relever la France après le désastre des restrictions de 1940 à 1949 (les derniers tickets ont disparu en décembre de cette année-là).

Je veux bien croire que, dès les années 1960, il y avait des écolos. Les premiers que j'ai vus étaient Dumont, en 1974, et les "hippies" qui vinrent s'installer dans les fermes abandonnées de Haute Provence à partir de 1972 environ. Les "nés natifs du cru" regardaient d'un air apitoyé leurs productions maigrelettes, leurs chèvres avec la morve aux naseaux en raison des parasites respiratoires.

Ceux qui sont restés ont su ensuite corriger les erreurs de leurs débuts et ont bâti toute une économie du bio florissante, agriculture et élevage, qui fait de la Drôme le premier département français en nombre de producteurs et en surface.

Dhaiphi a écrit:... mais il ne faut pas le dire aux enfants. (Marcel Pagnol)



- J'aimais mieux quand vous étiez une grenouille !

NdT : Penser dans une langue qui ne distingue pas le "tu" du "vous" doit offrir
une vision du mode différente.

Sports olympiques rejetés (et c'est bien dommage ).



1
Saut à la perche en équipe
2
Boxe rythmique
3
Golf Rugby
4
Aviron Sumo

Il est cul-de-jatte ?

Si, si, vous avez comprendu.
Chacun imagine ce qu'il souhaite pour justifier le port des chaussures aux mains. Il me semble que dans les tous les cas, cela ne donne pas le beau rôle au médecin qui suit un protocole sans guère faire trop attention au patient/objet de soins.


1
- Earl, pourquoi ton oreiller est-il froid ?
2
- J'aime dormir sur un oreiller frais.
3
- Je le mets dans le frigo un moment avant le coucher.
4
- Ah... Ça expliquerait pourquoi il sent le chou farci.

1
- Pourquoi les chiens enterrent-ils des os ?
2
dig, dig dig*
- Personne ne sait...
3
- Attendez voir !

*to dig : creuser.